Avantages et inconvénients de l'OECO

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Anonim

L'Organisation des États des Caraïbes orientales (OECO) est une organisation gouvernementale internationale créée en 1981 pour renforcer la protection des droits juridiques et fondamentaux, soutenir la bonne gouvernance entre les pays et favoriser la dépendance dans les États des Caraïbes orientales. Dans des circonstances de catastrophes naturelles telles qu'un ouragan, la responsabilité est engagée. En 2011, l'OECO comptait neuf membres: Antigua, Barbuda, Iles Vierges britanniques, Saint-Vincent-et-les Grenadines, Anguilla, Sainte-Lucie, Montserrat et la Dominique. La création et l’existence de l’OECO ont constitué une bonne voie de développement pour les États membres, bien qu’elle ait eu son lot de revers.

La gouvernance

L’une des caractéristiques très importantes de l’OECO est la manière dont il devient responsable devant les citoyens des États membres. L’organe directeur de l’autorité de l’OECO a été mis en place par les pays membres de l’OECO et est l’organe décisionnel suprême. L’autorité de l’OECO est composée des chefs de gouvernement des États membres afin d’encourager la participation et la gouvernance des communautés. Il veille à ce que les États membres aient la possibilité de participer à l'évaluation continue de l'OECO.

Relations extérieures

L'intégration de l'OECO maximise les avantages sur les territoires de l'OECO. Les pays de l'OECO ont des politiques commerciales unifiées qui sont incluses dans le mécanisme de négociation régionale au niveau de la Communauté des Caraïbes (CARRICOM). L'intégration de l'OECO a mis au point un cadre réglementaire régional et une région financière stable afin d'encourager le partage des coûts des projets régionaux, tels que la supervision conjointe des secteurs bancaire et financier. Il a également réalisé des gains sur la mise en commun des compétences techniques et sur le développement conjoint des marchés financiers et des capitaux des États membres.

Agitation financière

La tourmente économique mondiale a touché la plupart des pays pauvres, y compris les petits États insulaires en développement des Caraïbes. Après les difficiles obstacles économiques mondiaux de 2007 à 2009, l’OECO a souffert d’une croissance économique médiocre, de 0,4% en 2010. En conséquence, leur dépendance à l’égard des envois de fonds du tourisme, leurs liens économiques étroits, leur ouverture au commerce et aux flux financiers universels leurs forces sont progressivement devenues leurs faiblesses et ont aggravé leur vulnérabilité à la transmission de la crise mondiale.

Catastrophes naturelles

Les États membres de l'OECO sont vulnérables aux catastrophes naturelles. Selon la Banque mondiale, en 2010, les pays de l'OECO étaient parmi les plus vulnérables du monde en nombre de catastrophes par population et par superficie. Depuis 2008, la capacité de l'OECO à gérer les catastrophes croissantes a été contrecarrée par les ressources limitées, la diminution des entrées d'investissements directs étrangers (IDE), les recettes du tourisme et les envois de fonds dans tous les pays de l'OECO. L'absence de structure organisée et de politiques visant à limiter les effets a porté un coup dur aux pays de l'OECO.