La licence des journalistes est une question épineuse, du moins pour les journalistes. Les gardiens de l’éthique des médias réclament la censure, tandis que d’éminents blogueurs se demandent où les licences leur laisseraient. Il existe des lois sur l'autorisation d'exercer dans certains pays, mais aux États-Unis, la liberté de la presse règne. Cela ne veut toutefois pas dire que tous les blogueurs aléatoires obtiennent le même accès qu’un éditorialiste du "Washington Post".
Définitions
Il n'y a pas de définition précise de ce que signifie être un journaliste, et cela est encore plus vrai dans une ère moderne dominée par les reportages en ligne, le journalisme citoyen et les blogs. De plus, les experts dans un domaine donné décrivent souvent des sujets liés à ce domaine pour un journal dans des chroniques hebdomadaires, même s’ils n’ont pas de diplôme en journalisme.
Tentatives
Il y a eu et on continuera d'essayer de créer une sorte d'organisme de concession de licences pour le journalisme, mais la plupart d'entre eux se trouvent au niveau des États. Par exemple, le sénateur de l'État du Michigan, Bruce Patterson, a présenté un projet de loi en 2010 qui, s'il était adopté, obligerait les journalistes de l'État à s'enregistrer auprès d'un organe directeur. Les conditions pour obtenir un permis incluent un bon caractère moral, trois années d’expérience en journalisme, un diplôme en journalisme ou un diplôme équivalent et la rédaction d’échantillons. Le projet de loi n'a pas réussi à sortir du comité.
Enseignants
Les professeurs de journalisme sont confrontés à un ensemble standard d’exigences pour pouvoir enseigner le métier. La plupart des États et des collèges exigent qu'un diplôme en journalisme ou un diplôme équivalent en journalisme soit associé à un certificat d'enseignement pour enseigner au niveau secondaire. Des diplômes d'études supérieures et une histoire de publication peuvent être exigés des enseignants des niveaux collégial et universitaire. Les directives spécifiques varient selon les états et les institutions.
La vérification des antécédents
Certains journalistes sont tenus de franchir des étapes supplémentaires avant d'assumer les responsabilités de battements spécialisés. Les membres du corps de presse de la Maison-Blanche, par exemple, doivent subir une vérification de fond rigoureuse avant de pouvoir accéder au terrain et à la salle de presse de la Maison-Blanche. Certains services de police de la ville exigent également une vérification des antécédents avant de délivrer ou de renouveler les informations d'identification de la presse.