Les taxes sur le chômage sont un coût pour faire des affaires. Les fonds nécessaires au paiement des prestations de chômage sont fournis par les employeurs au moyen des taxes sur les salaires fédérales et nationales ou par des employeurs qualifiés à but non lucratif ou gouvernementaux, tenus de rembourser à l'État les prestations versées. Le montant de l'impôt qu'un employeur paie dépend en partie des réclamations déposées par les employés. Un employeur peut choisir de faire appel de la demande de chômage d'un employé pour tenter de minimiser sa responsabilité.
Employeurs classés par expérience
Dans le cas des employeurs privés à but lucratif, les taux d'imposition du chômage sont influencés par les antécédents de l'employeur. Lorsqu'un salarié dépose une demande de chômage, l'employeur est informé de l'action. L'employeur peut contester la réclamation en faisant valoir que le prestataire devrait être exclu au motif que le prestataire n'a pas travaillé suffisamment de semaines pour avoir droit aux prestations, qu'il a été licencié pour un motif valable ou que le prestataire a démissionné au lieu d'être mis à pied.
Employeurs à remboursement de coûts
Les employeurs à but non lucratif ont la possibilité de devenir des employeurs à remboursement de coûts. Les employeurs à remboursement des coûts sont exonérés des taxes fédérales sur le chômage mais doivent rembourser les fonds publics, dollars pour dollars, aux allocations de chômage versées à leurs employés.
Motifs possibles d'appel
Bien qu’il puisse y avoir des différences d’un État à l’autre en ce qui concerne les appels, en général, les employeurs peuvent être dispensés des rétrofacturations associées à une réclamation si le demandeur quitte son emploi sans motif valable lié au travail; le demandeur a été congédié pour inconduite liée au travail; la séparation a été causée par une maladie médicalement vérifiée du demandeur ou de son enfant mineur; le prestataire a quitté un emploi à temps partiel pour accepter un emploi qui, de l'avis de tous, aurait pour effet d'augmenter le salaire; la séparation a été causée par une catastrophe naturelle; l'employeur a été appelé au service militaire actif; le demandeur a quitté son travail en raison d'une situation de violence familiale documentée; le demandeur ne peut pas effectuer physiquement le travail et reçoit des prestations d'invalidité.
Faire appel d'une réclamation
Les employeurs devraient examiner attentivement s'il convient de faire appel d'une demande de chômage. Si une réclamation fait l'objet d'un appel, le département du travail de l'État examine les raisons et les circonstances entourant la cessation de service du salarié et prend une décision. Il existe trois types de séparations. Si l'employé est mis à pied, il n'y a aucune raison d'interjeter appel de la demande. Si l'employé est congédié, il sera tenu compte des circonstances entourant le congédiement. Si l'employé quitte volontairement le poste sans motif lié au travail, l'employeur peut être dégagé de toute responsabilité liée à la réclamation.